C’est une belle histoire tirée du roman autobiographique de Roland Perez que Ken Scott réalise avec tendresse et nostalgie sur une famille juive-Marocaine installée à Paris au début des années 60.
L’histoire d’un enfant né avec une malformation au pied dont Esther la mère possessive jouée par Leila Bekhti n’admet pas un diagnostic irréversible et se bat avec abnégation contre la fatalité.
Le récit est empreint de nostalgie et Sylvie Vartan, qui joue son propre rôle, sera une des clés de la solution pour que Roland( Jonathan Cohen) s’affranchisse de son handicap.
Un film touchant, très bien interprété mêlant l’humour, les joies et les drames que l’auteur nous livre avec pudeur….la vie quoi!
Je ne saurais mieux que de vous conseiller d’aller voir ce film pour la modique somme de cinq euros, tarif préférentiel pour le printemps du cinéma…
SC