Le réalisateur génial du Grand-Bleu, Léon, Subway, ou du Cinquième élément serait il en mal d’inspiration pour aller chasser sur les terres du grand Francis Coppola?
Une bande annonce qui n’évoque rien de nouveau sous le soleil de Bram Stoker l’auteur du vampire le plus célèbre du cinéma.
Costumes, séquences, décors, ambiance… la sensation d’avoir déjà vu ce film suinte à chaque plan.
Pour cette « nouvelle » vision de Dracula, Luc Besson a eu 45 millions d’euros de budget et enrôlé Caleb Landry Jones, déjà vu dans Dogman, pour incarner le maître des vampires. Si l’on s’en tient à la bande-annonce, Gary Oldman, l’inoubliable Dracula de Coppola, peut dormir sur ses deux canines : son remplaçant est d’une transparence glaçante.
Le synopsis officiel annonce : « Au XVe siècle, le Prince Vladimir renie Dieu après la perte brutale et cruelle de son épouse. Il hérite alors d’une malédiction : la vie éternelle. Il devient Dracula. Condamné à errer à travers les siècles, il n’aura plus qu’un seul espoir : celui de retrouver son amour perdu ».
Hommage ou pompage ? On se souvient que Luc Besson a été condamné pour plagiat dans l’affaire Lock Out (2012), reconnu comme une copie de New York 1997 (1981) de John Carpenter.
Peut être à t’il simplement besoin de reconnaissance après toutes ses turpitudes en justice qui l’ont écartées de la caméra depuis 2018.
Mais la gloire ne semble pas vouloir se manifester cette fois avec cette prochaine production dont la sortie en salles est prévue ce jour.
SC ça sent l’ail!!’